24 heures / Le blog de Dave
28/02/2012
A Lavigny, un Vallon séduisant
Tout est parti de l'arrière-grand-père Gustave, venu s'installer à Lavigny et y cultivant 2000 m2 de vignes. Son petit-fils Jacques quitte la Viticole d'Aubonne et fonde la cave en 1981.
Et la quatrième génération, Stéphane Schmidt, développe la Cave du Vallon, tant en surfaces (8 ha) qu'en qualité, ajoutant aux cépages classiques du canton de Vaud du viognier, du chardonnay ou du gamaret et du garanoir. Au total, une quinzaine de vins, du doux au mousseux en passant par des spécialités élevées en fûts de chêne.
C'est le cas de cet assemblage gamaret-garanoir (50%-50%), vendangé à la main avant d'être élevé douze mois dans des fûts de chêne de type bordelais.
Au nez, l'assemblage se fait charmeur, avec une belle présence de fruits mais aussi d'épices et une petite note de cuir. En bouche, les tannins sont déjà bien ronds et promettent une belle garde.
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A Lavigny, un Vallon séduisant
Tout est parti de l'arrière-grand-père Gustave, venu s'installer à Lavigny et y cultivant 2000 m2 de vignes. Son petit-fils Jacques quitte la Viticole d'Aubonne et fonde la cave en 1981.
Et la quatrième génération, Stéphane Schmidt, développe la Cave du Vallon, tant en surfaces (8 ha) qu'en qualité, ajoutant aux cépages classiques du canton de Vaud du viognier, du chardonnay ou du gamaret et du garanoir. Au total, une quinzaine de vins, du doux au mousseux en passant par des spécialités élevées en fûts de chêne.
C'est le cas de cet assemblage gamaret-garanoir (50%-50%), vendangé à la main avant d'être élevé douze mois dans des fûts de chêne de type bordelais.
Au nez, l'assemblage se fait charmeur, avec une belle présence de fruits mais aussi d'épices et une petite note de cuir. En bouche, les tannins sont déjà bien ronds et promettent une belle garde.
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A Lavigny, un Vallon séduisant
Tout est parti de l'arrière-grand-père Gustave, venu s'installer à Lavigny et y cultivant 2000 m2 de vignes. Son petit-fils Jacques quitte la Viticole d'Aubonne et fonde la cave en 1981.
Et la quatrième génération, Stéphane Schmidt, développe la Cave du Vallon, tant en surfaces (8 ha) qu'en qualité, ajoutant aux cépages classiques du canton de Vaud du viognier, du chardonnay ou du gamaret et du garanoir. Au total, une quinzaine de vins, du doux au mousseux en passant par des spécialités élevées en fûts de chêne.
C'est le cas de cet assemblage gamaret-garanoir (50%-50%), vendangé à la main avant d'être élevé douze mois dans des fûts de chêne de type bordelais.
Au nez, l'assemblage se fait charmeur, avec une belle présence de fruits mais aussi d'épices et une petite note de cuir. En bouche, les tannins sont déjà bien ronds et promettent une belle garde.
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28/02/2012
A Lavigny, un Vallon séduisant
Tout est parti de l'arrière-grand-père Gustave, venu s'installer à Lavigny et y cultivant 2000 m2 de vignes. Son petit-fils Jacques quitte la Viticole d'Aubonne et fonde la cave en 1981.
Et la quatrième génération, Stéphane Schmidt, développe la Cave du Vallon, tant en surfaces (8 ha) qu'en qualité, ajoutant aux cépages classiques du canton de Vaud du viognier, du chardonnay ou du gamaret et du garanoir. Au total, une quinzaine de vins, du doux au mousseux en passant par des spécialités élevées en fûts de chêne.
C'est le cas de cet assemblage gamaret-garanoir (50%-50%), vendangé à la main avant d'être élevé douze mois dans des fûts de chêne de type bordelais.
Au nez, l'assemblage se fait charmeur, avec une belle présence de fruits mais aussi d'épices et une petite note de cuir. En bouche, les tannins sont déjà bien ronds et promettent une belle garde.
Pierre-André Cordonier /Agri Hebdo
Le Swiss Made pour la Cave du Vallon
Stéphane Schmidt à Lavigny appose depuis janvier le signe de l'arbalète sur ses bouteilles.
Première cave labellisée Swiss Made, voire même peut-être premier produit agricole, la Cave du Vallon à Lavigny, au-dessus d'Aubonne (VD), s'est jointe au club des entreprises arborant la célèbre arbalète, signe Oh combien reconnu de la suissitude!
C'est en automne dernier que Stéphane Schmidt et sa femme Hélène décident de postuler pour le Swiss Label en voyant deux ou trois entreprises reconnues afficher fièrement le logo du label.
Le dossier est déposé et pas plus tard que le 30 janvier 2008, la cave reçoit l'autorisation d'apposer la marque sur ses bouteilles. Une démarche rapidement menée, car seule l'origine suisse, qui doit être au minimum de 50% de la valeur du produit, est vérifiée. Des contrôles auront lieu ensuite chaque année.
Pas seulement pour les exportations
La Cave du Vallon exploite 8 hectares de vignes sur les côteaux de la rivière l'Aubonne à Lavigny avec un ensoleillement plein sud. Une situation qui lui donne droit à l'appellation Morges contrôlée.
Le vignoble: 70% en chasselas, le reste en muscat, chardonnay, viognier, pinot, gamay, gamaret, garanoir et de la vinification en barrique depuis 1997. Des vins doux aussi avec du chasselas passerillé et du muscat doux. Stéphane Schmidt est la troisième génération sur le domaine et son père, Jacques, est encore bien présent.
Pourquoi avoir choisi un tel label? Sûrement pas uniquement pour les exportations. Certes la Cave du Vallon vend sur la France, un peu en Angleterre et ailleurs, mais cela reste marginal. «Le Swiss Made est aussi un signe de qualité pour nos compatriotes. C'est également une reconnaissance de notre part pour le travail de nos parents qui ont contribué à forger cette réputation suisse reconnue partout. C'est une manière de valoriser les produits que l'on fait chez nous. Nous sommes bien dans la tendance des produits régionaux et écologiques. Mais je serais aussi désormais plus à l'écoute du client qui achète mon vin à l'étranger.»
RomanDuVin.ch > Autour du flacon
Archives
Le Swiss Made de la Cave du Vallon
Le symbole de l'arbalète sur fond rouge ne vous est pas inconnu. Forcément, on le retrouve sur les crayons Caran D'Ache, les couteaux Victorinox ou les bonbons Ricola. Depuis le début du mois, ce «Swiss Made» orne les bouteilles de la Cave du Vallon de Lavigny. Propriété des frères Stéphane et Jacques Schmidt, ce petit domaine de huit hectares est la première entreprise viticole à obtenir ce label. Il est même le premier à en avoir fait la demande.
Le label Swiss Made indique que au moins 50% de la valeur du produit provient de Suisse. Ce qui implique que, toutes les caves pourraient l'obtenir, si elles en faisaient la demande. Utilisé principalement par les industries d'exportation, il permet de donner une image helvétique clairement reconnaissable. On peut donc se demander quel intérêt représente ce petit macaron pour un vigneron vaudois doté d'une clientèle locale.
Pour Stéphane Schmidt, il ne s'agit pas vraiment de clarifier l'origine d'une bouteille pour des acheteurs étrangers -d'ailleurs marginaux- mais de se distinguer dans une ambiance très concurrentielle. Dans un magasin, comme au restaurant, les clients ont affaire à une telle diversité de l'offre que le choix se fait surtout au hasard. Seules quelques marques devenues célèbres surnagent dans cet océan des possibles et s'assurent une rentabilité correcte. Certaines maisons ont pu obtenir une reconnaissance grâce à leur longévité. Mais pour qui ne peut se targuer d'une étiquette centenaire, il faut trouver des moyens de se démarquer.
Dans cette course à la reconnaissance, certains misent uniquement sur le bouche à oreille, d'autres participent à tous les concours, quelques grandes maisons élaborent une stratégie publicitaire. La Cave du Vallon a décidé de jouer la carte de l'originalité. En étant la première à obtenir un tel label, l'entreprise s'est offerte à peu de frais d'une couverture médiatique très importante. Elle a bénéficié d'articles assez conséquents dans la presse généraliste lémanique comme dans les publications professionnelles. La même couverture obtenue avec des annonces publicitaires lui aurait sans doute coûté plusieurs dizaines de milliers de francs.
Et même si le logo lui-même ne devrait pas avoir d'influence très importante sur les ventes de la cave, il s'agit d'une démarche assez subtile. En effet, les propriétaires de la Cave du Vallon ont bien compris le fonctionnement de la presse qui considère souvent un événement sous l'angle de la nouveauté et non de l'intérêt intrinsèque. Car, si la première cave a obtenir le Swiss Made a fait l'objet d'une dizaine d'articles, les éventuels disciples qui recevraient la même certification ne seront mentionnés dans aucun journal parce que l'information sera considérée comme réchauffée.
24 Heures
LAVIGNY
Un vigneron se dote du logo «Swiss Made»
Par LAURENT DONZEL le 06.03.2008 à 18:43
Une bouteille de vin, classique, du Domaine de la Cave du Vallon à Lavigny. Et surprise, un logo est collé, de la taille d'un timbre-poste, arborant l'arbalète «Swiss Made». Etonnant pour un produit dont on sait en général qu'il est de provenance locale. Sa justification se trouve en partie dans l'image du label à l'étranger, mais pas uniquement.
Stéphane Schmidt est vigneron au Domaine du Vallon à Lavigny, avec son frère Jacques. Leur production de vins affiche le label «Swiss Made» avec l'arbalète. LAVIGNY, LE 6 MARS 2008
Une bouteille de vin, classique, du Domaine de la Cave du Vallon à Lavigny. Et surprise, un logo est collé, de la taille d'un timbre-poste, arborant l'arbalète «Swiss Made». Etonnant pour un produit dont on sait en général qu'il est de provenance locale. Sa justification se trouve en partie dans l'image du label à l'étranger, mais pas uniquement.
«Notre volume de production extérieur se fait en direction de la France ou des Pays-Bas, l'arbalète est extrêmement bien reconnue à l'étranger, explique Stéphane Schmidt, vigneron de la Cave du Vallon. Mais notre production reste très marginale dans ces pays. Ce label nous intéresse donc aussi pour l'image du vin en Suisse. Il affichera bien sa provenance à côté d'autres produits étrangers, notamment dans les bars à vin.»
L'exploitant reconnaît qu'il a découvert ce label sur internet. «Les consommateurs sont de plus en plus sensibles aux questions de provenance, notamment pour des questions écologiques liées aux transports.»
Alors précurseur pour le domaine viticole ou électron libre la Cave du Vallon? «Nous espérons que ce type de démarche affichant le Swiss Made sera suivie par d'autres caves», répond Serge Beck, vice-président de Swiss Label. L'ancien conseiller national, ardent défenseur de l'arbalète, espère également que le milieu agricole s'y intéressera, «mais c'est vrai qu'il a développé son propre label, reconnaît-il. Le nôtre garantit cependant l'origine et non la qualité: on pourrait ainsi imaginer que d'autres secteurs de productions rejoignent les produits industriels.» Pour obtenir le «Swiss Label», la part suisse à la valeur d'un produit doit s'élever à au moins 50%, ce qui rendrait son obtention relativement aisée pour des productions de vins.
«Ce genre de label ne pose apparemment pas de problèmes tant que le consommateur ne le confond pas avec les labels de qualité, comme les AOC où le contrôle s'effectue tout au long de la production, garantis par l'Etat. Nous sommes u npays avec des législations très srtictes en matière alimentaire», commente Gilles Cornut, président de la communauté interprofessionnel des vins vaudois.
Verra-t-on donc d'autres vins ou des productions agricoles afficher l'arbalète comme le font Caran d'Ache, Victorinox, Ricola ou Cenovis? Pour l'heure la démarche de la Cave du Vallon est la seule de ce type auprès du label. «Autrement nous avons une trentaine de demandes d'adhésion d'entreprises par année» précise Serge Beck. Swiss Label compte actuellement près de 300 entreprises. Cette société pour la promotion des produits et services suisses, a été créée en 1917. L'arbalète en est devenue l'emblème depuis une cinquantaine d'années. Le label connaît une deuxième jeunesse depuis les années 2000, après une période difficile.